Lacéré par la chaîne, les plaies béantes copieusement arrosées d'huile bouillante tandis que l'essence s'échappe peu à peu sur tes paupières pour finir par prendre feu, je t'imagine tenter de t'enfuir de ce brasier, littéralement sur tes rotules tant ta chaire a été rongée par l'acide de la batterie ou autre liquide corrosif de freinage. Aveugle, édenté, brisé, hurlant aux loups, je te souhaite donc de mourir de ta belle mortde motard !