Jean-Luc Martin "ancien rédacteur en chef " ne ce serait-il pas fait soulever sa fiancée par un motard dans une vie antérieur

?
Pourquoi tant de haine dans ces propos ?
A part le vélo de son enfance que connait-il des deux roues, pourquoi être jaloux du stationnement des autres véhicules que le sien, comment prétendre que tous les 2 roues sont en excès de vitesse, parmi les "automobilistes frustrés et agressifs" ne figurerait-il pas Monsieur le redresseur de tort irascible.
Au nom de quelle loi, de quelle liberté un homme a-t-il le droit de faire l'amalgame entre ceux " qui grillent des feux rouges, font fi des radars, oublient leur clignotant, prennent les sens interdits, doublent à droite, circulent sur les trottoirs, prennent les couloirs de bus, polluent plus que les voitures (2,5 millions de deux-roues consomment 1 % du carburant utilisé, mais émettent plus de 10 % des polluants), font du bruit (tendez l'oreille, on n'entend qu'eux) " des villes et ceux " qui grillent des feux rouges, font fi des radars, oublient leur clignotant, prennent les sens interdits, doublent à droite, circulent sur les trottoirs, prennent les couloirs de bus, polluent plus que les voitures (2,5 millions de deux-roues consomment 1 % du carburant utilisé, mais émettent plus de 10 % des polluants), font du bruit (tendez l'oreille, on n'entend qu'eux)"
Car finalement, au nom de quelle loi, de quelle liberté peut-on critiquer l'inconnu avec autant de conviction sans quitter ces œillères.
Monsieur le redresseur de tort votre doigt d'honneur ce n'est pas dans la jungle de demain de je vous le met. Car la violence routière vient de personnage comme vous qui n'ont jamais su faire le part des choses mais qui profite de leur ou ancienne situation pour faire un papier. Et quand vous parlez de :" ces automobilistes frustrés et agressifs" j'avais impression que vous parliez de vous.
Car finalement, au nom de quelle loi, de quelle liberté, un deux-roues n'aurait pas le droit de circuler.
Que soit à la ville ou à en province ne risquez pas d'hypothèses. et restez chez vous avec votre doigt d'honneur