slt les copos, bien sympa ce sondage on retourne en enfance à la vue des brêles qu'on a possédé, comme en ce qui me concerne entre autre, la Malaguti Calvalcone cr4
d' eQuinox, avec laquelle j'ai fait en 71/72 Chamonix- Aix-en-Provence aller / retour pour mes première vacances d'été sans pop and mom, j'avais 14 ans c'était la belle vie,la vache c'est loin
Bon que les vieilles tafiolles rangent leurs mouchoirs, on est toujours là 40piges plus loins avec le cul comme les baboins à force d'user des tréteaux de toutes natures
.
Fin '50 DEPART.( dans les couilles à papa)sur BSA GOLD STAR.
Mi '60 ( sur le réservoir ) de la Bonneville à papa
La messe est dite, le virus est implanté pour la vie.
j'ai 7 ans, je vole le solex de mon papy dès qu'il a le dos tourné.
Les grands de mon quartier me laissent faire des tours de paté de maison avec leur Flandria comete 4 et autres Gitanes Testi c'est le grand pied, en échange je fille les clopes que je pique à mon père
69 je quitte Aix en Provence direction la Haute Savoie, je continue à taxer le Honda P50 de ma mère, pis en suivant son Amigo que je réduit contre un sapin loin en contre-bas de la route
.
Puis viens la Malaguti, rien qu'à moi, le pied intégral ma première vraie brêlle
Pis c'est l'orgie:
125 suzuki TS, 250 honda trail motosport, OSSA 250 , Bultaco sherpa ,en doublon avec Suzuki T500 pour la route,remplacée par goldwin 1000 naked ( les premières ) pis une Suzuki 750 gt, bref la boulimie totale avec de l'occas pas cher, du bougé/collé
,des fois du neuf à peine roulé, en fait tout mon fric y passe.
Et puis viens le temps du confort et de la bar, donc break dans la folie des achats / revente moto, juste ma spitfire Mark III et quand même ma vieille Suzuk TS 125 jamais vendue car sacrée
Bon tout à un temps, les copines frileuses aussi, et c'est reparti avec un 500 XT , suivi d'un 750 honda custom que j'ai d'ailleurs décalqué sur le cul de la 505 d'un gros connard qui reculai sur une bretelle d'autoroute, suivi d'un petit break thérapeutique
, et c'est reparti sur un Transalp qu'un autobus envoie dans un fossé avec moi dessus en cow-boy de rodéo, re-break de remis en forme et j'achète un fantastique Africa twin de 1987, je lui met 150 000 km sans resserer un écrous et la mort dans l'âme je le quitte pour la KAWETTE qui me propulse depuis deux ans avec agilité et bonne humeur.
Merci à la moto, mon fil rouge de survie dans ce monde absurde plein de restrictions à la liberté individuelle.