MMhh

Un lait-calva avec un gros glaçon....

S'il te plait bien-sûr...

Oh puis non tiens, j'vais prendre un Rhum, histoire de t'accompagner virtuellement pour tes vacances...

Dites, ça n'a rien à voir, mais le pourrissage intempestif et très lourdingue sur le topic des états d'âme m'a mis la puve à l'oreille concernant une remarque de notre cher Olymp'
(qui participe d'ailleurs activement à ce pourrissage en bonnet difforme) au sujet de ce texte :
Trenet :
Les sanglots longs des violons de l'automne
Bercent mon coeur d'une langueur monotone.
Tout
chancelant et blême quand sonne l'heure
Je me souviens des jours anciens et je pleure
Et je m'en vais au vent mauvais qui m'emporte
De ci , de là, pareil à la feuille morte.
Verlaine:
Les sanglots longs des violons de l'automne
Blessent mon coeur d'une langueur monotone.
Tout
suffocant et blême quand sonne l'heure
Je me souviens des jours anciens et je pleure
Et je m'en vais au vent mauvais qui m'emporte
De çà , de là, pareil à la feuille morte.
Curieux non ,cette version... Je me demande pourquoi Trenet s'est senti obligé de déformer ce poème...?

Vous vous en fouttez...? Bon, tant pis, à la vôtre...