Dimanche dernier, alors que nous déjeunions en famille, le lustre est tombé sur la table, ce qui a renversé la soupière dont le contenu s'est déversé sur la robe de ma belle-soeur qui s'est agrippée à la nappe, ce qui a provoqué la chute d'un verre sur les genoux de mon mari qui s'est coupé en le rattrapant.
Vous voudrez bien me dire si parmi ces divers incidents, mon assurance rembourse quelque chose.
Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l'ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d'une lettre que je n'ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus.
Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.
J'ai des ennuis avec ma voisine du dessous. Elle habite au 2e étage et prétend que l'eau de mon balcon tombe sur le sien, or c'est l'eau des fleurs du balcon du 4e qui glisse le long de la corniche et mouille le balcon du 2e, du reste la locataire du 5e s'en est aperçue et l'a signalé à celle du 4e mais celle-ci ne veut rien entendre et prétend que c'est une fêlure de mon balcon (situé au 3e) qui provoque l'inondation au 2e.
Qu'en pensez-vous ?
Je vous écrit comme suite à votre lettre qui m'est survenue hier consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j'ai lu les lois et voilà ce qui en dérive : Quand il y a un croisement entre deux routes dont l'une ne traverse pas l'autre, celle qui est la plus petite doit s'arrêter la première. Donc il n'y a pas de priorité qui tienne. C'est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit, lequel je me trouve déjà par ailleurs.
Je suis entré dans la terrasse d'un café avec ma 2CV ; comme il y avait beaucoup de choses, j'en ai cassé beaucoup aussi. Il y avait personne, ça fait toujours ça de moins (voir liste à peu près) :
- 3 tables (pas tellement bien),
- des chaises (en mauvais état),
- un tonneau peint en rouge dans quoi il y avait un genre d'arbuste (le tonneau est pas récupérable, mais l'arbuste si),
- il y avait aussi un peu de verrerie, mais des bouteilles il y en avait pas, sans ça c'était pire.
Le restant que j'ai eu en dommage, c'est pas au café, c'est la grille d'un jardin public qui est à la commune ; c'est comme le banc et le feu rouge ... il y avait un chien aussi, mais comme il s'est sauvé aussi vite et on l'a pas revu, il a dû rien avoir et on ne sait pas à qui c'est. Ça a pas arrangé ma 2CV non plus et elle est pas finie de payer.
En déplorant énergiquement, je vous salue avec dévouement.
PS : ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure, mais c'est rien : le docteur y a mis des infectants.
La Citroën avait priorité, c'est un fait, mais je ne l'ai pas vu ; d'ailleurs à la façon qu'il conduisait, on voyait bien que la priorité, il savait pas ce que c'était : la preuve que si ça aurait été le contraire (une auto qu'aurait venu par la gauche), il l'emboutissait pareil. Donc il n'y a pas de motif de s'arrêter à cette question de priorité à laquelle vous donnez tant d'importance
Au carrefour, j'ai ralenti et j'ai laissé passer absolument toutes les voitures venant de ma droite, que d'ailleurs il n'y en avait pas ; alors j'ai avancé et j'ai été heurté par une 4L qui venait justement de la droite par un moyen que j'ignore. J'ai heureusement freiné et c'est alors que le choc s'est montré sans réticence
Vous m'écrivez que le vol n'existe pas entre époux. On voit bien que vous ne connaissez pas ma femme
En avançant, j'ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J'ai donc reculé, mais en reculant, j'ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C'est alors que je suis sorti pour remplir les constats. Mais en sortant, j'ai renversé un cycliste avec ma portière. C'est tout ce que j'ai à déclarer aujourd'hui
Des militaires furent appelés par une vieille dame de Londres pour rattraper son chat, coincé en haut d'un arbre. Ils arrivèrent avec une promptitude remarquable et remplirent leur mission à la satisfaction générale. La dame ravie, les invita à prendre le thé. En repartant, accompagnés de remerciements et de bénédictions, ils écrasèrent le chat
BETISIER
Il s'agit d'extraits de rapports de police qui ont été publiés dans une revue annuelle des policiers.
- Il lui bottait le derrière à tour de bras.
- N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.
- Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.
- L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.
- Le motif du vol était le meurtre.
- Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions...par un grand silence.
- Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
- Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.
- Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
- Malgré ses 4 frères et sœurs, le jeune homme était fils unique.
- N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite.
- Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le devant.
- L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
- Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.
- Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques.
- Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.
- La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
- Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer.
- Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traité de "sales flics" ignorant que nous étions des constables.
- La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes.
- Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
- Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.
- Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.
- L'infraction fut constatée par la Sûreté deux jours avant qu'elle n'ait lieu.
- Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
- Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.
- Le pendu est mort noyé.
- Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
- Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
- Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler la police.
- Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
- Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.
- Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.
- L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
- Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.
- Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher, faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
- C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.
- L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était en fait qu'un tissu de mensonges.
- Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.
- Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est enfui à toutes jambes, malgré sa jambe artificielle qui s'était décrochée.
- Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.
- Si la fenêtre du bureau n'avait pas été ouverte, elle aurait été fermée, ce qui lui aurait permis de s'enfuir....
- L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.
- L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme, sans parvenir à s'y introduire.
- La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.
- Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des dents dans les oreilles.
- Le défunt a formellement reconnu son agresseur.
- Cinq des trois suspects ont été relâchés.
- L'homme a juste eu le temps de déposer sa plainte sur le bureau avant de s'écrouler devant nos yeux qui n'ont rien compris.
- L'homme fut atteint au nez et aux narines.
- Le policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire.
- La mer était sa terre natale.
- Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
- L'homme avait suffisamment gardé la tête froide pour ranger soigneusement les morceaux de corps au congélateur.
- Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.
- Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.
- La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu'à l'auto-patrouille en copulant sur une jambe.
- Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à le frapper.
- Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit au poste de police.
" Douze fautes en vingt minutes ça fait beaucoup ! // Oui, ça fait beaucoup... (faute sur Bakayoko) ... et voilà... on doit approcher de la onzième !! " (Thierry Gilardi // Jean-Luc Arribart)
" Et sur ces images quasiment inaudibles... " (Hervé Mathoux)
" Et la finition du bulldozer... du bulldozer très fin qu'est Aloisio ! " (Hervé Mathoux)
" Cette décision de M. Sars est le tournant qui fait pencher la balance en faveur des Auxerrois. " (Jean-Luc Arribart)
" La rage du gazon dans sa volonté de courir sa course vers l'avant... " (Jean-Luc Arribart)
" Il y a de moins en moins de monde autour du porteur du ballon... ils sont un ! " (Laurent Paganelli)
" ... dans une position de milieu-défensif-axial... de meneur de jeu de plus loin ! " (Jean-Luc Arribart)
(Lens mène par 4 à 0) " Ca va être dur pour les Lensois !! " (Grégoire Margotton)
" Je veux qu'ils jouent collectivement tous ensemble " (Jean-Luc Arribart)
" On est prêt pour voir le vrai Ravanelli ! Il est en super forme... Là, il a un p'tit bobo... " (Thierry Gilardi)
" On les a vu bouger beaucoup leurs courses ! " (Jean-Luc Arribart)
" Je pense que sur le choc il s'est dit... aie !! " (Thierry Gilardi)
" Nantes marque beaucoup à l'extérieur... lorsqu'ils gagnent, évidemment ! " (Denis Balbir)
" Attention à Thierry Henry, il est dangereux ! On se souvient de ses deux occasions manquées ! " (Denis Balbir)
" En tout cas, sur le terrain, au niveau du sol, c'est sûrement une attaque-défense auquel on va avoir lieu... " (Laurent Paganelli)
" Alors, côté gauche... là où le but est arrivé ; du côté de Titi Camara... c'était côté droit ! " (Jean-Luc Arribart)
" Les Marseillais sont un peu seuls au milieu de terrain sur les côtés ! " (Laurent Paganelli)
" Ils vont commencer les Lyonnais à se parler... avec les mains... avec les yeux... " (Philippe Bruet)
" Sur cette faute les deux arbitres avaient levé leur drapeau... l'arbitre de touche, et l'arbitre du centre ! " (Jean-Luc Arribart)
" On va essayer de remettre notre mental en place ! " (Frédéric Brando - OM)
" Ca passe à quelques centimètres... ou un mètre et demi, pas plus ! " (Grégoire Margotton)
" Dugarry il a le 2 parce qu'il voulait le 11 ! " (Charles Biétry)
" Vous vous souvenez que lors d'un match de coupe d'Europe, ici, contre la Lazio de Rome, il avait lui aussi été très bon... manquant presque un but immanquable... " (Jean-Michel Larqué)
" La différence de course de vitesse a fait la différence ! " (Olivier Rouyer)
" Raï n'a qu'une seule solution : soit tirer, soit passer à Simone, soit y aller tout seul... ! " (Olivier Rouyer)
" Après un déluge de champagne, ils aimeraient bien se glisser sous un déluge de champagne... " (Canal +)
" C'est étonnant, entre les deux bancs y'a un parallèle qui est complètement différent. " (Fabrice Poullain)
" ... alors qu'on en était à 1 à 1 partout ! " (Jean-Michel Larqué)
NICE - GUINGAMP " Ballon toujours Auxerrois... " (Thierry Roland)
" Et le gros chat ne ronronne plus ! Le gros chat sifflote... et à propos de flotte, il pleut toujours ! " (Thierry Roland)
" 2 à 2 pour l'Olympique de Marseille !! " (Denis Balbir)
" C'est pas fondamentalement catastrophique... il fallait que le PSG marque un but ! Bon, maintenant il en faut deux... " (Jean-Luc Arribart)
" Ah cette fois le malheureux Parlo n'a pas été heureux ! " (Hervé Mathoux)
" Ravanelli de la tête... il a un pied gauche magique ! " (Jean-Luc Arribart)
" Une occasion, deux buts ! " (Pierre Sled)
" Attention Monsieur l'arbitre, on joue au football dans votre dos ! " (Jean-Michel Larqué)
" C'est la technique Sud-Américaine... Dans le bon timing, on saute, et une fois qu'on est en l'air on y reste... 3... 4 secondes ! " // " Ce sont des hélicoptères !!! " (Jean-Luc Arribart / Eric Besnard)
" Oui, ça marche bien, ça fonctionne bien les passes collectives ! " (Thierry Gilardi)
ET MA PREFEREE
" Veron qui part au pressing... " // " Il a du linge à aller chercher ? " (Jean-Michel Larqué / Thierry Roland)