[humour] Lettres administratives ...

Démarré par timstripes, 12 Février 2008 à 16:18:58

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timstripes







Si vous en avez d'autres....


voir les lettres aux assurances, à mourir !

pierô

Sympa.... Il faut oser, mais c'est sympa...!

Par contre, je doute que monsieur le percepteur soit doté de suffisament d'humour pour être indulgent avec ces contribuables endettés... :-\
SUNT VIRTUTIS RUPES ITER.....!

:V: Porte parole de ZR-7.ORG Canal historique... :V:

dipediou

#2
ah les perles c'est marrant a lire ca aller je part a la peche moi
et de une:
• Vehicule B
Noms : Chevreuil.
Prénom : inconnu
Véhicule : à pattes
Conducteur : lui-même
Circonstances : venait de droite
Dégâts apparents : estafilade cuisse gauche
Observations : Bêê.

et de deux:
• Je n'ai pas eu le temps de relever le numéro de la voiture, mais je peux vous signaler que la conductrice était blonde, sympathique, et qu'elle portait un corsage vert

et la troisieme pour esquiver le service (pas mal mais un peu embrouillant):
Lettre au ministre de la Défense

Monsieur le Ministre de la Défense Nationale,

Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit, et de solliciter de votre bienveillance l'appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide.

Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25.

Mon père a épouse cette fille.

A cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu'il a épousé ma fille.

De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu'elle est la femme de mon père.

Ma femme et moi avons eu en Janvier dernier un fils.

Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père.

En conséquence, mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère.

Mon fils est donc mon oncle.

La femme de mon père a eu a Noël un garçon qui est a la fois mon frère puisqu'il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu'il est le fils de la fille de ma femme.

Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d'une personne est le père de celle-ci, il s'avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.

De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l'obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.

Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Je sers la science, et c'est ma joie...enfin je crois...

djbed

colonel bude, canal ZR7 historique

Gand

Lettre reçue par l'administration des impôts



Alain Cerisier

Numéro fiscal : 1742875534169

Référence de l'avis 02 83 7432975 64

Objet : Réclamation sur taxe d'habitation (2)

Madame, Monsieur,


Je suis la personne qui s'est permis de vous envoyer, la semaine dernière, un courrier injurieux, irrespectueux et ordurier à propos de votre incompétence. Aujourd'hui, je prends le temps et l'humilité, de vous adresser mes cordiales excuses au sujet de ce comportement.

En effet, il semblerait que mes écrits aient dépassé mes intentions. Et je ne peux m'en justifier que par le ras-le-bol général que vous arrivez à susciter chez l'ensemble des concitoyens et qui entraîne de telles réactions démesurées.

Contrairement à vous, je n'ai ni la chance, ni l'irresponsabilité de faire la grève à tout va et ainsi bloquer l'ensemble de la société, pour exprimer mon mécontentement. Moi, je n'ai que mon esprit et ma plume, et cette fois-ci, ils ont dérapé : j'en suis désolé.

En revanche, au vu du nombre de réponses de votre part auxquelles j'ai eu droit, je ne peux que me féliciter de l'impact et de la considération que ce courrier a suscitée à votre égard. En effet, il semblerait que mon mail ait été diffusé par vos soins à l'ensemble de vos services et bien au-delà de la circonscription toulonnaise. Est-ce du masochisme ou plutôt une prise de conscience générale de votre part ?  Bref, sachant maintenant l'énorme popularité que je suscite parmi vous, je me permets de formuler quelques remarques et conseils qui pourraient être utiles pour l'efficacité de votre travail. Tout d'abord, lorsque vous écrivez des lettres de reproches telles que j'ai reçues, faites-le en dehors de vos heures de travail. L'argent du contribuable qui vous paie n'est pas destiné à cela.

Ensuite essayez de ne pas réclamer la taxe d'habitation toulonnaise aux personnes qui n'habitent pas Toulon, vous aurez alors bien moins de dossiers à traiter (Il y a bien plus de personnes non toulonnaises, que de Toulonnais en France), Et ainsi la masse de travail dont vous semblez vous plaindre, en sera énormément allégée.

Aussi, je pense que vous passez trop de temps à essayer de débusquer la moindre faute d'orthographe qui peut se glisser dans un courrier. En effet, j'ai été surpris de voir dans vos réponses, que ce qui vous a le plus dérangé dans ma lettre, ce ne sont pas mes propos sur votre incompétence, que vous semblez admettre, mais plutôt les quelques fautes d'orthographe que j'ai pu commettre. Je veux bien que le seul critère de sélection pour accéder à vos fonctions soit l'orthographe, mais essayez dorénavant de vous intéresser plus au fond qu'à la forme.

Enfin, j'ai été aussi très surpris par la promptitude de vos réponses.
D'habitude pour obtenir une réponse de vos services, il faut bien patienter 5 ou 6 mois. Là, il n'a fallu que 5 ou 6 jours. Je conseillerai donc dorénavant, aux personnes dans mon cas, d'utiliser des propos odieux dans leur communication avec vous, cela accélère, semble-t-il le déroulement des choses. Mais, malgré la quantité de réponses à mon courrier, aucune ne m'a réellement renseigné sur mon problème d'impôt. Cela confirme bien, quand même, mon intuition sur la qualité de votre efficacité. 

J'espère que, comme précédemment, cette lettre aura le droit à autant d'honneur que la précédente.

Je vous remercie d'avance pour votre considération.

Cordiales salutations. 
<°)))><
Gand' alias Le Bleu
(avec une apostrophe à Gand' s'il vous plait !)

VRRRAAAZR7OUMMMM

Maxi

"Oh regardez ! Y en a un qui a dégueulé un merle ici !"
"Dis donc ! Tu serais pas le petit fils à Gros-Dégueulasse toi ?!"

timstripes

#6
Dimanche dernier, alors que nous déjeunions en famille, le lustre est tombé sur la table, ce qui a renversé la soupière dont le contenu s'est déversé sur la robe de ma belle-soeur qui s'est agrippée à la nappe, ce qui a provoqué la chute d'un verre sur les genoux de mon mari qui s'est coupé en le rattrapant.
Vous voudrez bien me dire si parmi ces divers incidents, mon assurance rembourse quelque chose.

Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l'ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d'une lettre que je n'ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus.
Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.

J'ai des ennuis avec ma voisine du dessous. Elle habite au 2e étage et prétend que l'eau de mon balcon tombe sur le sien, or c'est l'eau des fleurs du balcon du 4e qui glisse le long de la corniche et mouille le balcon du 2e, du reste la locataire du 5e s'en est aperçue et l'a signalé à celle du 4e mais celle-ci ne veut rien entendre et prétend que c'est une fêlure de mon balcon (situé au 3e) qui provoque l'inondation au 2e.
Qu'en pensez-vous ?

Je vous écrit comme suite à votre lettre qui m'est survenue hier consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j'ai lu les lois et voilà ce qui en dérive : Quand il y a un croisement entre deux routes dont l'une ne traverse pas l'autre, celle qui est la plus petite doit s'arrêter la première. Donc il n'y a pas de priorité qui tienne. C'est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit, lequel je me trouve déjà par ailleurs.

Je suis entré dans la terrasse d'un café avec ma 2CV ; comme il y avait beaucoup de choses, j'en ai cassé beaucoup aussi. Il y avait personne, ça fait toujours ça de moins (voir liste à peu près) :
- 3 tables (pas tellement bien),
- des chaises (en mauvais état),
- un tonneau peint en rouge dans quoi il y avait un genre d'arbuste (le tonneau est pas récupérable, mais l'arbuste si),
- il y avait aussi un peu de verrerie, mais des bouteilles il y en avait pas, sans ça c'était pire.
Le restant que j'ai eu en dommage, c'est pas au café, c'est la grille d'un jardin public qui est à la commune ; c'est comme le banc et le feu rouge ... il y avait un chien aussi, mais comme il s'est sauvé aussi vite et on l'a pas revu, il a dû rien avoir et on ne sait pas à qui c'est. Ça a pas arrangé ma 2CV non plus et elle est pas finie de payer.
En déplorant énergiquement, je vous salue avec dévouement.
PS : ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure, mais c'est rien : le docteur y a mis des infectants.

La Citroën avait priorité, c'est un fait, mais je ne l'ai pas vu ; d'ailleurs à la façon qu'il conduisait, on voyait bien que la priorité, il savait pas ce que c'était : la preuve que si ça aurait été le contraire (une auto qu'aurait venu par la gauche), il l'emboutissait pareil. Donc il n'y a pas de motif de s'arrêter à cette question de priorité à laquelle vous donnez tant d'importance

Au carrefour, j'ai ralenti et j'ai laissé passer absolument toutes les voitures venant de ma droite, que d'ailleurs il n'y en avait pas ; alors j'ai avancé et j'ai été heurté par une 4L qui venait justement de la droite par un moyen que j'ignore. J'ai heureusement freiné et c'est alors que le choc s'est montré sans réticence

Vous m'écrivez que le vol n'existe pas entre époux. On voit bien que vous ne connaissez pas ma femme

En avançant, j'ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J'ai donc reculé, mais en reculant, j'ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C'est alors que je suis sorti pour remplir les constats. Mais en sortant, j'ai renversé un cycliste avec ma portière. C'est tout ce que j'ai à déclarer aujourd'hui

Des militaires furent appelés par une vieille dame de Londres pour rattraper son chat, coincé en haut d'un arbre. Ils arrivèrent avec une promptitude remarquable et remplirent leur mission à la satisfaction générale. La dame ravie, les invita à prendre le thé. En repartant, accompagnés de remerciements et de bénédictions, ils écrasèrent le chat








BETISIER

Il s'agit d'extraits de rapports de police qui ont été publiés dans une revue annuelle des policiers.

- Il lui bottait le derrière à tour de bras.
- N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.
- Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.
- L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.
- Le motif du vol était le meurtre.
- Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions...par un grand silence.
- Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
- Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.
- Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
- Malgré ses 4 frères et sœurs, le jeune homme était fils unique.
- N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite.
- Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le devant.
- L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
- Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.
- Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques.
- Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.
- La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
- Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer.
- Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traité de "sales flics" ignorant que nous étions des constables.
- La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes.
- Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
- Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.
- Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.
- L'infraction fut constatée par la Sûreté deux jours avant qu'elle n'ait lieu.
- Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
- Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.
- Le pendu est mort noyé.
- Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
- Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
- Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler la police.
- Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
- Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.
- Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.
- L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
- Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.
- Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher, faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
- C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.
- L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était en fait qu'un tissu de mensonges.
- Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.
- Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est enfui à toutes jambes, malgré sa jambe artificielle qui s'était décrochée.
- Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.
- Si la fenêtre du bureau n'avait pas été ouverte, elle aurait été fermée, ce qui lui aurait permis de s'enfuir....
- L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.
- L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme, sans parvenir à s'y introduire.
- La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.
- Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des dents dans les oreilles.
- Le défunt a formellement reconnu son agresseur.
- Cinq des trois suspects ont été relâchés.
- L'homme a juste eu le temps de déposer sa plainte sur le bureau avant de s'écrouler devant nos yeux qui n'ont rien compris.
- L'homme fut atteint au nez et aux narines.
- Le policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire.
- La mer était sa terre natale.
- Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
- L'homme avait suffisamment gardé la tête froide pour ranger soigneusement les morceaux de corps au congélateur.
- Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.
- Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.
- La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu'à l'auto-patrouille en copulant sur une jambe.
- Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à le frapper.
- Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit au poste de police.



" Douze fautes en vingt minutes ça fait beaucoup ! // Oui, ça fait beaucoup... (faute sur Bakayoko) ... et voilà... on doit approcher de la onzième !! " (Thierry Gilardi // Jean-Luc Arribart)
" Et sur ces images quasiment inaudibles... " (Hervé Mathoux)
" Et la finition du bulldozer... du bulldozer très fin qu'est Aloisio ! " (Hervé Mathoux)
" Cette décision de M. Sars est le tournant qui fait pencher la balance en faveur des Auxerrois. " (Jean-Luc Arribart)
" La rage du gazon dans sa volonté de courir sa course vers l'avant... " (Jean-Luc Arribart)
" Il y a de moins en moins de monde autour du porteur du ballon... ils sont un ! " (Laurent Paganelli)
" ... dans une position de milieu-défensif-axial... de meneur de jeu de plus loin ! " (Jean-Luc Arribart)
(Lens mène par 4 à 0) " Ca va être dur pour les Lensois !! " (Grégoire Margotton)
" Je veux qu'ils jouent collectivement tous ensemble " (Jean-Luc Arribart)
" On est prêt pour voir le vrai Ravanelli ! Il est en super forme... Là, il a un p'tit bobo... " (Thierry Gilardi)
" On les a vu bouger beaucoup leurs courses ! " (Jean-Luc Arribart)
" Je pense que sur le choc il s'est dit... aie !! " (Thierry Gilardi)
" Nantes marque beaucoup à l'extérieur... lorsqu'ils gagnent, évidemment ! " (Denis Balbir)
" Attention à Thierry Henry, il est dangereux ! On se souvient de ses deux occasions manquées ! " (Denis Balbir)
" En tout cas, sur le terrain, au niveau du sol, c'est sûrement une attaque-défense auquel on va avoir lieu... " (Laurent Paganelli)
" Alors, côté gauche... là où le but est arrivé ; du côté de Titi Camara... c'était côté droit ! " (Jean-Luc Arribart)
" Les Marseillais sont un peu seuls au milieu de terrain sur les côtés ! " (Laurent Paganelli)
" Ils vont commencer les Lyonnais à se parler... avec les mains... avec les yeux... " (Philippe Bruet)
" Sur cette faute les deux arbitres avaient levé leur drapeau... l'arbitre de touche, et l'arbitre du centre ! " (Jean-Luc Arribart)
" On va essayer de remettre notre mental en place ! " (Frédéric Brando - OM)
" Ca passe à quelques centimètres... ou un mètre et demi, pas plus ! " (Grégoire Margotton)
" Dugarry il a le 2 parce qu'il voulait le 11 ! " (Charles Biétry)
" Vous vous souvenez que lors d'un match de coupe d'Europe, ici, contre la Lazio de Rome, il avait lui aussi été très bon... manquant presque un but immanquable... " (Jean-Michel Larqué)
" La différence de course de vitesse a fait la différence ! " (Olivier Rouyer)
" Raï n'a qu'une seule solution : soit tirer, soit passer à Simone, soit y aller tout seul... ! " (Olivier Rouyer)
" Après un déluge de champagne, ils aimeraient bien se glisser sous un déluge de champagne... " (Canal +)
" C'est étonnant, entre les deux bancs y'a un parallèle qui est complètement différent. " (Fabrice Poullain)
" ... alors qu'on en était à 1 à 1 partout ! " (Jean-Michel Larqué)
NICE - GUINGAMP " Ballon toujours Auxerrois... " (Thierry Roland)
" Et le gros chat ne ronronne plus ! Le gros chat sifflote... et à propos de flotte, il pleut toujours ! " (Thierry Roland)
" 2 à 2 pour l'Olympique de Marseille !! " (Denis Balbir)
" C'est pas fondamentalement catastrophique... il fallait que le PSG marque un but ! Bon, maintenant il en faut deux... " (Jean-Luc Arribart)
" Ah cette fois le malheureux Parlo n'a pas été heureux ! " (Hervé Mathoux)
" Ravanelli de la tête... il a un pied gauche magique ! " (Jean-Luc Arribart)
" Une occasion, deux buts ! " (Pierre Sled)
" Attention Monsieur l'arbitre, on joue au football dans votre dos ! " (Jean-Michel Larqué)
" C'est la technique Sud-Américaine... Dans le bon timing, on saute, et une fois qu'on est en l'air on y reste... 3... 4 secondes ! " // " Ce sont des hélicoptères !!! " (Jean-Luc Arribart / Eric Besnard)
" Oui, ça marche bien, ça fonctionne bien les passes collectives ! " (Thierry Gilardi)

ET MA PREFEREE
" Veron qui part au pressing... " // " Il a du linge à aller chercher ? " (Jean-Michel Larqué / Thierry Roland)

dipediou

c'est long a lire mais telement marant <D <D <D
Je sers la science, et c'est ma joie...enfin je crois...

Maxi

"Oh regardez ! Y en a un qui a dégueulé un merle ici !"
"Dis donc ! Tu serais pas le petit fils à Gros-Dégueulasse toi ?!"

Morgane

 :bravo: J'en veux encore ! encore une si vous plait!!! mais pluss si affinité!


flovivi

en revoir zr7 bonjour fz6

LM

voilà de réelles mesures contre l'alccol au volant... :)
j'arrête de boire... promis!  :-D
Who wants to live forever........

Maxi

Oo: c'est quoi ce délire ???

merde c'est chaud...

Citation de: LM le 07 Juin 2008 à 11:32:18
voilà de réelles mesures contre l'alccol au volant... :)
j'arrête de boire... promis!  :-D

moi j'arrête la voiture !! <D
"Oh regardez ! Y en a un qui a dégueulé un merle ici !"
"Dis donc ! Tu serais pas le petit fils à Gros-Dégueulasse toi ?!"

timstripes

Nos mais les gendarmes !


- Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.

- Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

- C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il était mis à neiger.

- Quand le contrevenant a crié: Espèce de gros con! dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.

- L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

- L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté.

- Le suspect s'est alors décidé à passer des aveux complets pour nous prouver qu'il était pour rien dans cette affaire.

- L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.

- Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts.

- Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

- Si nos gendarmes n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.

- Pour finir, l'interpellé avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.

- Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la même heure.

- Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

- En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.

- C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.

- Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

- Le pendu est mort noyé

- Nous, x, inspecteur en fonction à la sureté urbaine, mandons et entendons Melle Y, qui nous déclare : "je suis sourde et muette".

pierô

 Oo:


:ptdr: :ptdr: :ptdr:


J't'adore, toi... Mon boulet préféré...!!  :-* :-* :-D
SUNT VIRTUTIS RUPES ITER.....!

:V: Porte parole de ZR-7.ORG Canal historique... :V:

Olympmars83

C'est pas moi mais j'aurais bien aimé :

"Monsieur le Président de la République,

Je vous rassure tout de suite, je ne me prends pas pour Emile Zola.
N'étant pas très "accro" de l'actualité (surtout pas des sites "people"
que vous aimez bien fréquenter), ce ne fut qu'hier (01/07/2008 vers 19
heures - il n'y a pas d'heure pour les braves) que j'ai "ouï entendu
dire", à l'écoute d'une radio publique, que vous aviez qualifié les
militaires d'"amateurs", etc.

Je suis un ancien "amateur" de l'Armée de l'air, et vos propos m'ont
surpris, pour ne pas dire choqué (NIA = W39006D, je ne me cache pas, les
nouveaux "DST+RG" pourront me retrouver). Je fais en effet partie d'une
longue lignée d'"amateurs" dont les plus récents se sont permis - quelle
indécence - d'être au service de la France, de père en fils, depuis la
Révolution (je parle de celle de 1789, pas de celle de 1968, dont vous
semblez être un digne héritier, où "je suis anti-militariste" rime avec
"je suis un bon citoyen").

Mes ancêtres, donc, dont plusieurs se sont "fait trouer la peau" (ce doit
être par "amateurisme" ou manque de "professionnalisme"), doivent se
retourner dans leur tombe (ceux qui en ont) à l'écoute des invectives
tenues par vous à l'égard de leurs "descendants". Je ne sais si vous avez
jamais tenu - ou vu - un fusil (chacun son boulot), mais ceux qui
(politique étrangère de la France oblige) ont dû en tenir un (ou en
tiennent un), doivent se sentir actuellement bien humiliés par la manière
dont vous les traitez.

Enfin ! Vous demandez à ces "amateurs" de "maintenir la paix" en
Afghanistan (en accroissant leurs effectifs - ils seront moins dangereux
là-bas qu'à Carcassonne...), Côte d'Ivoire, Tchad, Kosovo, etc. voire de
créer une base française aux Emirats Arabes Unis (il est vrai que, pour
des "coins touristiques" comme ceux-là, des "amateurs" suffisent...).

Vous leur demandez même, Monsieur le Président, de venir se placer bientôt
sous commandement américain (ces derniers doivent bien rire, que vont-ils
pouvoir faire des "Frenchies", compter les munitions, peut-être ?).

Les "amateurs" - si tant est qu'ils le soient - le seraient certainement
moins si le budget de la Défense, Monsieur le Président, servait moins
souvent de "variable d'ajustement" aux inepties administratives de tous
les énarques qui nous gouvernent (combien d'énarque(s) sur les Monuments
aux morts ?).

En effet, l'Armée française pourra bientôt se déployer tout entière sur la
place de la Concorde (certains pessimistes osent même citer la place du
Tertre) ; je redoute que le Luxembourg (ou Andorre) ne nous envahisse
(j'espère que ce jour-là les routiers feront des "barrages filtrants").
Comme nous nous disions entre nous lorsque j'étais militaire, et fier de
l'être : "Nous avons la bite et le couteau ; ils vont bientôt nous piquer
le couteau !" Pardonnez, Monsieur le Président, mon langage cru, mais à
des "amateurs", il ne faut point demander trop, sauf se prendre
éventuellement des "balles perdues" en Afghanistan, en Cochinchine
(savez-vous où c'est ?) ou au Mexique, voire à Verdun ou au Chemin des
Dames.

"L'épée est l'axe du monde, et la grandeur ne se divise pas." Je vous
laisse deviner, Monsieur le Président, l'auteur de cette maxime, dont vous
prétendez être un héritier (de l'auteur, pas de la maxime - si vous aviez
réellement été l'héritier de l'un et de l'autre, vous n'auriez pas tenu de
tels propos).

"Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu'il comprenne" (autre
auteur célèbre, qui laissera une trace plus ineffaçable que la vôtre - du
moins, je l'espère, sinon c'est à désespérer de l'humanité). Autre
citation : "A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire." Les militaires
(pardon, "amateurs") eussent été syndiqués, eussiez-vous osé vous en
prendre à eux en des termes aussi virulents ? Encore une citation (de mon
grand-père, "amateur" blessé plusieurs fois lors de la Première Guerre
mondiale) : "Un moment de honte est vite passé."

Sans vouloir vous tenir des propos contrariants, Monsieur le Président, je
me permets de vous dire que vous n'aurez plus ma voix en 2012 (peut-être
est-ce par "amateurisme"), et je crains que vous n'ayez pas non plus
celles de tous ceux que vous venez d'humilier par vos récentes
déclarations. Vous pourrez toujours me dire qu'en 2012, il n'y aura plus
beaucoup de militaires...

Question subsidiaire : "Qui sont les amateurs ? Ceux qui donnent des
ordres sans les comprendre, ou ceux qui les exécutent en croyant que ceux
qui les donnent les comprennent ?"

P. S. : Veuillez, s'il vous plaît, faire suivre ce courrier, car je ne
daigne pas (vue la prochaine taxe sur les véhicules dits "polluants", tels
les chars "Leclerc", "Mirage", "VAB" et autres "Rafale"), dépenser une
enveloppe et un timbre pour l'acheminer (cela gaspillerait du papier et je
redoute de voir fondre sur moi les foudres des adeptes du "développement
durable").


[ENVOYE PAR INTERNET]
Si tu es motard, que Dieu te garde
Si tu n'es pas motard, que Dieu te pardonne...

timstripes

Lu dans les Dernières Nouvelles d'Alsace, ce matin !!! Il y a quand même des flèches, non !!!! Mort de rire Mort de rire Mort de rire Mort de rire

Citation
Le motard étourdi oublie sa femme sur l'autoroute

Stupéfaits, les gendarmes de la brigade de Burnhaupt-le-Haut quand hier, vers 12 h 30, un motard est venu leur déclarer qu'il pensait avoir perdu sa femme en route...
L'homme, un corrézien âgé de 53 ans, rentrait avec son épouse de 45 ans d'un séjour en Allemagne. Empruntant l'A35, le couple avait fait halte dans une station-service d'Ostwald pour faire le plein et prendre un café. Mais, ce n'est qu'à la sortie 15 de la RD 83, au Pont d'Aspach, soit plus de 120 km plus loin, qu'il s'est aperçu qu'il était seul en selle...
Les gendarmes de Burnhaupt-le-Haut ont alerté le centre opérationnel régional de gendarmerie, ainsi que l'ensemble des pelotons d'autoroute sur le tracé afin de retrouver l'infortunée...
Nulle trace d'une motarde en perdition sur le parcours. Mais, fort heureusement, le mari a alors eu l'idée de téléphoner à une amie restée en Corrèze.
Celle-ci a pu le rassurer en lui expliquant que son épouse l'avait contactée et qu'il avait tout simplement oublié sa femme au moment de repartir de l'aire d'autoroute d'Ostwald !
La bonne nouvelle est tout de même tombée quatre heures plus tard...
Le mari étourdi en a été quitte pour remonter sur sa moto, direction Ostwald. L'histoire ne dit pas si il aura pris le temps de s'arrêter chez un fleuriste...

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anthony 50

impressionnant il est sacrément doué le mec!  <D

dipediou

Je sers la science, et c'est ma joie...enfin je crois...


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