T O P I C A L A C O N

Démarré par timstripes, 30 Juin 2007 à 17:46:14

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Kawasien


shrek

non aujourd'hui c'est jeudi
comtois! rend toi! 
que neni ma foi!
tant que la cancoillotte coulera, de l'arbois tu boiras, et toujours droit tu fileras!

timstripes

oui, mais vendredi c'est avant samedi, et c'est samedi c'est : WEEK-END  :houra:

shrek

comtois! rend toi! 
que neni ma foi!
tant que la cancoillotte coulera, de l'arbois tu boiras, et toujours droit tu fileras!

rafale

et il va se plaindre le vacancier là  >:D

shrek

faut trimer pendant 10 mois en école, à jouer dans la boue et accepter de voir une très grand nombre de lever de soleil pour mérité d'être vacancier comme moi,  :-[
aprécier d'aller voir des parents pour leur annoncer que leur fils (ou fille  est à l'hopital parce qu'il (ou elle) a fait une sortie de route  :'(
supporter des ivrogne qui puent la pisse et le dégueuli vous braillent dans les oreilles, voir pire
pour être vacancier comme moi   :-[
je profite pour le moment d'avoir du "temps libre" pour me balader sur le fofo
je l'ai choisi et je ne le regrette pas
mais la porte est grande ouverte pour les suivants











































et pis









































..............................................PROUT...............................................................
comtois! rend toi! 
que neni ma foi!
tant que la cancoillotte coulera, de l'arbois tu boiras, et toujours droit tu fileras!

timstripes

bien dit !

poil au






























........................ Z I Z I ...................

rafale

Je plaisantais Shrek, je disais ça parce que tu as souvent chambré avec les jours de repos que tu as eu dernièrement. Suite à ta patte nan ?  ???

timstripes

On ne plaisante jamais avec les forces de l'ordre !  :biggrin:

timstripes

et un dernier pour la nuit  :-D

pierô

Tiens, tu fais la coursoposts toi...?!   :-D

:dehors2:
SUNT VIRTUTIS RUPES ITER.....!

:V: Porte parole de ZR-7.ORG Canal historique... :V:

timstripes

bah non, je sais que tu me bats d'avance  :langue:

rafale


timstripes


gve49

Vendre :

Céder un bien contre de l'argent, contre paiement. Anton. acheter, acquérir. La municipalité de la ville de Paris ne prélevant rien sur la vente des tableaux exposés, les artistes, même en ne vendant qu'un seul tableau, arrivent tout de même à avoir de quoi vivre un certain temps (Arts et litt., 1936, p. 76-5).
SYNT. Vendre des actions, une charge, un esclave, un livre, une maison, ses meubles, un office, sa récolte; vendre qqc. (très/trop) cher, à bas prix, à/au prix coûtant/fort, sans bénéfice, à perte; vendre qqc. au comptant, à crédit, avec/sans garantie; vendre à l'encan, par autorité de justice; faire vendre qqc.; vendre qqc. pour le compte de qqn; (ne pas) être à vendre; vendre au plus offrant.
? Empl. pronom. passif. Les chevaux des officiers, volés sur le champ de bataille, se vendaient couramment vingt francs pièce (Zola, Débâcle, 1892, p. 435).
? Vendre chat en poche. V. chat1 II C 1. Vendre (jusqu'à) sa dernière chemise. V. ce mot I A 2 b. Vendre la peau de l'ours (avant de l'avoir tué). V. ours A 5. Vendre qqc. au poids de l'or, à prix d'or. V. or1 I C 1.
? Empl. abs., FIN. Vendre à la baisse, à la hausse; vendre à découvert, à terme. Papa a fait une affaire, aujourd'hui (...)! Il a acheté un petit bois à moitié prix. Des gens étaient obligés de vendre vite; une bonne occasion (Villiers de L'I.-A., Contes cruels, 1883, p. 116).
? Tel qui vend ne livre pas. V. livrer A 4 a.
? Vieilli. Vendre qqn. Vendre les biens de quelqu'un après saisie. ? « C'est toi qui fais vendre Mme Arnoux? » Elle relut l'annonce. ? « Où est son nom? » ? « Eh! C'est son mobilier! Tu le sais mieux que moi! » (Flaub., Éduc. sent., t. 2, 1869, p. 266).
B. ? Faire commerce de quelque chose (pour son compte ou pour le compte de quelqu'un d'autre). Vendre du pain, du poisson, un produit, de la viande, du vin; vendre qqc. au mètre, au poids, au détail, en gros; vendre qqc. au rabais, en réclame, en solde; qqc. se vend bien, mal. Gottlieb Duttweiler (...) lança dans le canton de Zurich en août 1925 son entreprise Migros avec 5 camionnettes vendant dans les villages des produits d'épicerie un tiers moins cher que les détaillants (Lesourd, Gérard, Hist. écon., 1966, p. 597).
? Savoir vendre sa marchandise. V. ce mot A 3 c. Vendre à bon marché. V. ce mot III A 3. Vendre sous le manteau. V. ce mot I A 1 b.
? Empl. abs. Vous produisez peu, mais vous savez acheter et vendre. Ce sont les qualités du commerçant (Romains, Knock, 1923, III, 6, p. 19).
? Empl. pronom. passif
? [Le suj. désigne un artiste considéré par rapport à son œuvre] Drumont (...) se vend à cent mille, et son livre fait le bruit d'une révolution (Goncourt, Journal, 1887, p. 658).
? Être d'une bonne vente. Alexis avait trente ans passés, ses parents étaient morts, sa peinture se vendait, il avait son marchand, un contrat avantageux (Triolet, Prem. accroc, 1945, p. 102).
C. ? Céder une activité, un service, un avantage, contre rémunération. Vendre ses idées, ses services, son travail (à qqn). L'humiliation de vendre son temps contre un salaire, de faire un travail qu'on n'aime pas dans l'unique but de « passer à la caisse » (Vailland, Drôle de jeu, 1945, p. 14).
? Empl. pronom. réfl. Je me suis vendu corps et âme à Votre Excellence pour les matinées; mais il est onze heures du soir et, parbleu, mes soirées sont à moi (Stendhal, L. Leuwen, t. 3, 1835, p. 35).
? En partic., péj. [Le compl. d'obj. désigne une chose qui normalement n'est pas vénale] Se faire accorder un avantage contre quelque chose. Vendre sa conscience, des honneurs, des indulgences, son vote, son suffrage. Étéocle (...) ne valait pas plus cher que Polynice (...) le prince loyal avait décidé, lui aussi, de vendre Thèbes au plus offrant (Anouilh, Antig., 1946, p. 189).
? Vendre son âme au diable, au démon. V. âme I A 2.
? Empl. pronom. réfl. Se vendre à un parti. Quelque député du centre qui, en se vendant au ministère pour un ruban ou une recette de tabac, n'avait pas encore appris à placer un masque sur sa laideur (Stendhal, op. cit., p. 348). Fille à Boches! Espionne! Tu t'es vendue! Oui, tu nous as trahis (Van der Meersch, Invas. 14, 1935, p. 259).
Vieilli. Se faire enrôler (souvent pour remplacer quelqu'un d'autre). Se vendre comme remplaçant. Tout homme étant propriétaire et cultivateur, nul n'avait besoin de se vendre, et le despote n'eût point trouvé de mercenaires (Volney, Ruines, 1791, p. 57).
? [Le compl. d'obj. désigne une pers. ou un attribut d'une pers.] Prostituer. Une appareilleuse infâme, qui vendait sa fille (Restif de La Bret., M. Nicolas, 1796, p. 135).
? Vendre ses charmes, son corps, ses faveurs. Se prostituer. Ce qui se vend cent mille francs chez la putain qui vous vend son corps, la beauté, on ne l'estime pas vingt mille chez la femme qu'on épouse et qui vous la donne (Goncourt, Journal, 1864, p. 15). Empl. pronom. Le salarié se trouve dans la situation d'une putain, comme elle, il se vend (Vailland, Drôle de jeu, 1945, p. 174).
D. ? Trahir, dénoncer par intérêt. Vendre ses complices, un secret; vendre père et mère. Esterhazy (...) l'espion qui nous vendait à l'Allemagne (Clemenceau, Vers réparation, 1899, p. 157).
? Vendre la mèche. V. mèche1 A 2 b.
E. ? Vendre cher/chèrement qqc. Ne pas accorder facilement, exiger quelque chose en échange de quelque chose. Vendre chèrement sa vie. Ne poursuivons plus la gloire; elle vend cher ses faveurs (Brillat-Sav., Physiol. goût, 1825, p. 386). Elle avait empoigné le révolver d'un geste instinctif pour achever son attitude d'espionne acculée dans un coin et décidée à vendre chèrement sa peau (Cocteau, Enfants, 1929, p. 185).
Prononc. et Orth.: [v??:d??], (il) vend [v??]. Homon. vent, van1 et 2. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. Fin xe s. « céder contre de l'argent (ou un avantage quelconque) » (Passion, éd. d'Arco Silvio Avalle, 87); 1160-74 sei vendre chier « vendre cher sa vie » (Wace, Rou, éd. A. H. Holden, III, 8902). Du lat. vendere « céder contre argent » et « faire valoir », contraction de venum dare « donner en vue de la vente ». Fréq. abs. littér.: 5 286. Fréq. rel. littér.: xixe s.: a) 8 596, b) 9 383; xxe s.: a) 8 276, b) 5 138.
DÉR.
Vendable, adj. Qui peut être cédé contre de l'argent, contre paiement. Anton. invendable. Produit vendable. Les dettes, à l'acquittement desquelles la vente des propriétés vendables ne pouvait suffire, ne pesaient que sur lui (Balzac, Secrets Cadignan, 1839, p. 301). Les œuvres françaises que leur qualification scientifique rend difficilement vendables, dans le grand public (Civilis. écr., 1939, p. 28-6). ? [v??dabl?]. Att. ds Ac. dep. 1798. ? 1re attest. 1249 vendaule (Févr., Chart. des comt. de Hain., A. de l'Etat à Mons ds Gdf. Compl.); de vendre, suff. -able*; cf. le lat. vendibilis « qui se vend facilement », dér. de vendere, « vendre », d'où fr. vendible « qui se vend facilement » 1530 (Palsgr., p. 303) ? 1636, Monet.
BBG. ? Grammont (M.). Et vous le vendez? In: [Mél. Thomas (A.).]. Paris, 1927, pp. 183-186. ? Koch (P.). Verb, Valenz, Verfrügung. Heidelberg, 1981, pp. 92-94, 175-180, 194-197, 296-299. ? Picoche Sém. lex. fr. 1986, pp. 102-104. ? Quem. DDL t. 18, 20.









Ca réponds à ton intérrogation ??? MDR  :-D  :-D  :-D

source : http://www.cnrtl.fr/

timstripes


rafale

et si on te pisse dans les bottes ... tu bandes ? hein ?!?

Zèdo_78

Ça te gardera les pieds au chaud. Par contre faut pas attendre avant de les chausser!!!
Zèdo_78, Plus rapide qu'un cheval qui souffle en tempête ->

shrek

sorry pour rafale
hier j'ai encore eu droit à la bétise humaine pas celle rigolote ça c'est fait :-D de tim mais celle de personne sensée avoir un commandement

c'est vendredi et c'est pas le week end
pis
di









man   -> ile   -> course





che   -> veaux  ->   lait






comtois! rend toi! 
que neni ma foi!
tant que la cancoillotte coulera, de l'arbois tu boiras, et toujours droit tu fileras!

timstripes

[move][move][move][move][move]post viteuf[/move][/move][/move][/move][/move]




[move][move][move][move]c'est bon, t'es arrivé(e) à lire ?  :-D[/move][/move][/move][/move]