[CR] Poussin dans le sud - Septembre 2013

Démarré par rafale, 02 Octobre 2013 à 23:11:02

« précédent - suivant »

0 Membres et 1 Invité sur ce sujet

rafale

Poussin dans le sud - Septembre 2013


Ce week-end, Poussin est venu me rendre visite en Ardèche.
Ce con Cet homme fort et courageux, a fait la route depuis Paris sur son ZX-6R. Autant vous dire qu'il est arrivé déjà à moitié fracassé.  :biggrin:

J'ai eu la bonne surprise de voir également débarquer mademoiselle Tueuse qui cherchait par la même occasion à s'expliquer avec mon hôte sur un léger différent. (Private Joke)
La soirée est vraiment sympathique, on vide des canons, on cause bécane et nichons .... bref on est bien tintin !  :-D

Samedi matin midi, Poussin et moi décollons rejoindre Happy dans le col de L'Escrinet. On roule 10 minutes avec lui jusqu'à Aubenas, puis il rentre rejoindre sa dame.
La grenouille de Poussin et mon Orange pressée continuent leur chemin vers le sud, pour aller chercher Les Vans où nous casserons la croûte. "MICHEL ? 2 Américains STP ! .... épidébières !"
Maintenant qu'on est saoul, on peut attaquer godasse fond d'cinq dans le col qui sépare Les vans de Villefort, on enchaine sur Le Bleymard. Le temps se gâte, c'est noir dans l'fond ... j'suis pas ta mère.
Bon .... bah on doit rejoindre la miss Tueuse qui sera chez elle avant nous puisqu'elle rentre en voiture par autoroute, donc roulons !

On prend la flotte dans le Mont Lozere ... jusqu'à Montpellier, en passant par la corniche des Cévennes où on ne voit pas à 30 mètres à cause de cette put@*n  de brume .... 60 kms/h max. :...:

Après un léger craquage à la pompe à essence de Ganges, on fini par arriver à Montpellier où nous retrouvons Ange. Douche chaude ! On se change et on sort faire la fiesta.

Le lendemain après-midi on repart sous un soleil qui s'estompe rapidement. 30 bornes plus loin, ma chaine de transmission casse, je bloque ma roue, j'évite la chute. Il pleut ... encore !
"Allo Ange ? T'avais prévu quoi cet aprem ? Tu viens me chercher avec le plateau ?  :-[ "

Mac Do à proximité de Montpellier, retour par l'autoroute. Poussin est sur son 6R, Ange et moi sommes en voiture avec la KTM sur le plateau. 2h après, nous sommes chez moi.

Le lendemain matin je pars au boulot et mes deux invités me quittent le midi.




:V:

poussin

#1
23 jours plus tard, il m'est enfin possible de vous faire partager ma version du CR.

Rafale, Ange, je vous demande pardon d'avance pour certains anachronismes qui pourraient se faufiler dans le texte: mes souvenirs ne sont plus tout frais, surtout concernant les détails. Et puis l'âge vous savez, ça fait heureusement oublier certains détails, comme le choix dans la date !

1er jour : Vendredi 27 Septembre, fin de matinée

Aujourd'hui je pars en Ardèche. Je ne connais pas cette région, si ce n'est par le nom et par tout le bien que certains ont pu me raconter. 600Km, c'est une aventure, même pour ce petit parisien, baroudeur à ses heures perdues. Je prépare consciencieusement tout mon équipement, sans oublier ce qui me permettra d'immortaliser chacun de mes instants là-bas. Une sacoche réservoir et un sac à dos, il ne m'en faut pas plus pour caser mes affaires.


Je sors pour installer tout ça sur le 6R et rencontre un vieux maçon portugais qui travaille dans la résidence. Avec un pied sans son Kangoo, je sens son regard se fixer sur la belle verte:

"
-C'est bien ça la moto hein?
-C'est peu de le dire m'sieur !
-Mais c'est dangereux hein. Moi une fois j'ai eu un accident. Je devais prendre la route, comme vous, et une voiture m'est rentré dedans. Résultat : fracture cranienne,1 semaine dans le coma et quelques blessures
-Ah ouai quand même ... Bon ben, bonne journée monsieur !
-Bonne route, faites attention !
"

Il va me porter l'oeil le con.
Je prends mon temps pour finir mes vérifications et je démarre le moulin. Et oui ma grande, je suis désolé mais aujourd'hui il va falloir être endurante.



Qui veut aller loin, ménage sa monture

Me voila enfin parti et 50 km plus tard, je vois enfin le grand Paris se réduire dans mes rétroviseurs. Seulement il y a quelques trucs qui clochent, la moto fait trop de bruit. A 8000 trs/min, je cruise à 130kmh et le bruit est peu supportable, même avec un équipement adéquate.

Merde ! Ma chicane !

Bon ... t'es trop loin pour faire demi-tour, il va falloir t'y faire.
La bulle ne me sert pratiquement à rien et ma veste Bering flotte dans mon dos. Heureusement pour moi, il fait beau et le paysage qui défile sous mes yeux ne va qu'en s'améliorant.

Passé les 150kms, il est temps pour moi de faire une petite pause.
Sandwich, Redbull et un café : que de bonnes armes pour affronter les kilomètres restants.


Mais ces petits artifices ne m'aident en rien quand on en vient au problème concernant la conduite de la moto. J'ai l'impression d'être assis sur une bûche, les suspensions absorbent très peu les variations du bitume et seule la vue d'un "billard" me redonne le sourire. Enfin, jusqu'aux prochains travaux. Et il y en aura beaucoup.

Arrivé aux environs de Dijon, je décide de faire une petite pause. Et oui, si en voiture on vous recommande d'en faire une toute les 2 heures, je ne pouvais tenir plus d'une heure sans avoir les muscles raidis par cet engin de torture.

Une fois le plein fait sur une aire d'autoroute, je vois un couple de motard sur ma droite. Ils roulent en 1200GS ces enfoirés, le modèle 2012. Le bonhomme s'approche de moi et me demande d'où je viens, avec un accent qui respire les plages de sable chaud et les caïpirinhas. Il a un peu de mal en français alors j'enchaine en portugais. On discute de la bécane et surtout de leur voyage. Ils viennent du Brésil et font le tour de l'Europe en moto en 3 semaines avec un roadbook bien tracé. Je prends une photo avec eux et je suis même invité à aller passer quelques jours à côté de Rio. Volontiers les amis !

Diego et Ligia, merci à vous !


Ca met du baume au coeur de discuter un peu.

La route continue de défiler et j'ai toujours les mêmes problèmes. Si je ménage ma monture, elle en tout cas ne m'épargne pas. Chaque torsion du poignée droit fait flotter encore plus ma veste ce qui me donne l'impression d'avoir un bourdon qui traine dans le casque, tout cela agrémenté un fond sonore en Akrapovic-mineur.

Passé la ville de Lyon, je reçois un message de Jeff : " T'arrive vers quelle heure pede"
Propre. Mais motivant.

Il est maintenant 19h, et j'arrive à la sortie d'autoroute qu'il m'avait décrit. En 2 min, je me retrouve au Pouzin et je reconnais certains coins que j'avais vu en photo sur un autre CR.



PUTAIN ! Je suis arrivé ! (Pour moi, Putain est un mot de liaison.)

Jeff sort sa tête par la fenêtre, il a les oreilles redréssées, la queue qui frétille.
Le temps de décoller mes fesses de la selle, je relève les yeux vers l'entrée de sa grotte.
Et là je vois une fille, enfin ça y ressemble, je ne sais plus trop. J'ai la tête en vrac et je fais finalement le lien : ça doit être Ange !

Elle veut ma peau !

"Bonsoir!", après toutes les politesses, on monte à son appart et je fais la connaissance de la demoiselle. Jeff nous sert un petit cidre de chez lui, en y mettant des glaçons. Ton père te tuera pour ça.

Le temps passe vite, il est rapidement l'heure de manger et la pizzeria de la ville fera amplement l'affaire.

Je demande à Jeff ce qu'il a prévu pour le week-end, car on aura peut être pas tout le temps du soleil. C'est alors qu'Ange propose d'aller à Montpellier pour une petite sortie nocture.

Why not?

On rentre, on mange, Jeff se plaint des pizzas froides, j'ai envie de lui faire du mal mais elle est là, elle veille au grain...
Il se fait de plus en plus tard, j'ai besoin de dormir alors les deux amoureux filent à l'étage tandis que je m'habitue à l'environnement du normand.


Ca fourmille de petites ingénuosités dans cet appartement. Mention spéciale à la table basse "geek'o'bar". Je m'endors alors paisiblement, sans savoir réellement ce qui m'attend demain.

2ème jour : Samedi 28 Septembre matin midi

Je me réveille tranquillement tandis que les amoureux batifolent dès le réveil.
Quel est le programme du jour? On va rouler !

Jeff a prévu un petit circuit sympathique avec un tas de route. Seul point qui m'inquiète sur le moment, c'est la qualité de celles-ci. Et le temps aussi. Il parait que ça tourne vite ...

On prend le temps de se préparer, mais vraiment, genre une heure ou deux. Il parait qu'ici, on prend son temps ... On devait d'abord se décider sur où rejoindre Happy qui s'était libéré pour une petite heure. Y'avait bien dans mon cul, mais c'était déjà pris par une pizza.

Nous voilà partis tranquillement dans la brousse pour rejoindre Happy. Je découvre alors des contrées inconnues et surtout un bitume splendide. Il est tout frais, tout beau, limite spongieux.
Le rêve de tout arsouilleur qui se respecte.

Putain, un bled de mort. Ah une aire de repos avec une moto rouge, ça doit être Happy.
Serrage de pince à la va-vite, on prend quelques nouvelles. J'admire le montage de silencieux de notre cher professeur, c'est joli ! Je me permets de rappeller qu'on est pas là pour trier les lentilles quand même.


On reprend alors la route et je prends toujours autant mon pied, même si je commence à ressentir les mêmes douleurs que la veille. Le petit-Z ne se traine pas devant, obligé de tirer un peu plus fort pour le suivre. Et il se permet de pencher le salop. J'apprendrai plus tard qu'il roulait pépère, bref ...

Une station de service et c'est déjà la fin de notre petite balade à 3. Les 2 affreux se concertent afin de savoir quelle route on doit prendre. Heureusement qu'ils sont de la région sinon je me poserais des questions. "On va prendre les routes en jaune, elles sont exploitables je pense". Comprenez par là qu'il m'amènera sur des routes où même les chèvres ne posent pas leurs pattes.


"Goodbye Happy ! Happy Goodbye ! Hoopy Gaadbye! "

On reprend la route de plus belle.

Malgré ce bitume de qualité, il est dur à ratraper le Rafale. Je me dis que c'est pas la première fois qu'il roule par ici mais quand même. Je vais pas me faire emmerder par une moto de cross avec des pneus route. Je descends un rapport, c'est mieux mais j'arrive trop fort. Et devant moi, une épingle. J'arrive vraiment trop fort et mes 8 doigts pressent les freins comme des malades. La fourche plonge mais impossible de tourner. Bah ouai mon gros, c'est pas Paris ici, il faut anticiper, observer, sentir. Ce phénomène se reproduira maintes et maintes fois.

Je me reconcentre, je l'aurais le gros cu(be) devant. Mais il fait quoi là, pourquoi il ralentit?

"Bon on s'arrête et on s'en paye une bonne?"

Le paradis sur terre : Un petit bled avec terrasse. Et c'est quand je retire mes fesses de la selle que je prends conscience que j'avais vraiment besoin d'une pause.
On se pose, caméra de geekos sur la table, avec les deux rutilentes en terrasse. Je pense que c'est à ce moment même du week-end que je l'apprécierai le plus...


On parle Concentr', puis des 2 furieux. Rafale m'apprend la définition de l'expression "serpillière" en parlant d'Happy et je le comprends. Ce mec connait la région comme sa poche et ça se sentait. Au dessus de nous se dessine un nuage aussi gros que ... vous me suivez non?

On reprend l'arsouille et après quelques kilomètres, je sens que l'autre devant, avec ses quelques (milli)grammes en plus (que d'habitude) d'alcool dans le sang, il va me causer quelques soucis.
Il enquille, flip, flap, épingle, sans regarder derrière.


On s'arrête à une station essence, avec tout un groupe d'autres motards. Sacréments belles les meules avec des gars très biens équipés, respect! L'un d'entre eux vient voir Rafale en lui demandant si sur sa machine il déhanche. En somme, le mec qui a tout compris au supermot'...
Le bonhomme repart vers son pote en CBR 600 et s'étonne d'avoir autant envoyé sur petite route. Je suis content pour eux, ils ont vraiment pris leurs pieds. Enfin, je suis content jusqu'au moment où mes yeux se portent sur le pneu arrière de sa belle japonaise. Des bandes de peur à faire pâlir un semi-remorque. Sur cette bonne barre de rire, on décide de repartir.


Comme d'habitude, l'autre repart bien fort. Moi, je rattrape tant bien que mal. Je me rends vraiment compte que cette meule n'a rien en dessous des 5000 tours donc je commence à accéler, à pousser la bécane dans ce que j'ai l'habitude de considérer le "trop" mais qui est plutôt "normal" quand on veut vraiment l'exploiter.


Bordel je commence à sentir qu'elle pousse vraiment, je peux pratiquement tout faire en 2ème et elle ne bronche pas. Bon certes, les décélérations sont violentes. Un léger relachement du poignet droit et elle relâche tout. Impossible pour moi de tempérer ma conduite, c'est soit ON, soit OFF. Et au moment où j'ai la sensation de bien attaquer, j'aperçois une masse de gros nuage, sauf que cette fois-ci on rentre dedans. Du brouillard, aussi épais que ... enfin vous voyez ce que je veux dire. Et ça a duré près de 40 minutes, à rouler à tatons, à se fier au moindre bruit. Autant dire que moi, avec ma trompette au cul, je pouvais toujours tendre l'oreille.

"Un café siouplé!"

On passe dans un petit bled en contrebas. Je propose qu'on s'arrête pour une petite boisson chaude. Il commence à faire un tantinet frisquet et là c'est l'averse. Pas une petite pluie de saison hein, là c'est un truc menstruel. Un dérèglement climatique. Et nous, on est là, en terrasse, avec un café dégueux mais au moins, il est chaud. Rafale a quand même repris une petite binouze



Là je n'ai plus trop envie de repartir. Je pense à mon dos, à mes fesses, à mes bras, à ma descendance qui diminue à chaque kilomètre.
On prend finalement notre courage à deux mains et on reprend la route. Le fan club du Normand était présent, ils adoraient les motos qui font "Poc poc".


La route se poursuit sous des trombes d'eau et le soleil commence à se coucher. On arrive sur des routes complètement défoncées et sur un panneau je peux lire "course de rallye". D'accord, l'autre pédé devant, il veut vraiment que j'y reste.

Des bosses, des épingles, une voie puis deux voies puis une demi-voie, puis une voiture, puis une caravane. Je n'en peux plus et pour faire passer le temps, ainsi que soulager mes jambes, je décide de sortir le pied. Tandis que l'affreux sur la Katoche profite du paysage avec ses suspensions à grand débattement, moi j'ai l'impression de jouer du marteau piqueur. Je me dis qu'à un moment ou un autre, ma bécane va me lacher juste pour me dire que c'est pas son terrain.

Son terrain, ce sont les billards, les routes mais avec aucuns trous sur les côtés. Et des virages, des énormes virages. Pas cette daube qui défile sous mes pneus.

Je me dis que j'aurais jamais dû venir, enfin jamais dû venir sur ça. Je rouspète sur mon casque qui me bousille les cervicales et mon blouson qui laisse passer la flotte mais le problème, c'est bien la moto. Heureusement, au loin, les lumières de la ville étudiante finissent par se montrer timidement.

On arrive finalement à Montpellier et on est trempé. Mais ici, il fait sacrément bon. Ange nous fait galérer quelques minutes dehors, ce qui est appréciable quand on est sec, moins quand on est une éponge ambulante.

Douche libératrice, repas de rois puis soirée avec quelques ami(e)s du coin : Merci la Montpelliéraine !

3ème jour : Dimanche 29 Septembre matin

On est dimanche et il est déjà 11h quand je me réveille. Il fait toujours aussi beau et j'apprécie toujours autant la vue sur la raie de Rafale. Coquinou va.
Le temps de prendre le petit déjeuner, faire le tri entre ce qui est sec et ce qui ne l'est pas, ranger nos affaires, il est bientôt 13h.

"Au revoir Ange ! A bientôt j'espère"

Tu crois pas si bien dire mon grand. On reprend la route doucement et déjà, le ciel se couvre. Je m'arrête pour mettre mon pantalon de pluie et 2 minutes plus tard, gros soleil.

MAIS VOUS ÊTES SERIEUX LA?!?

Et là, la crème de la crème, le clou du spectacle, the top of the top : la chaine de Rafale qui pète.
"Je crois que j'ai serré" Gnééééé ! Pourquoi maintenant hein, connard?!

Bref. Je lui dis que je vais pousser la meule pour décoincer la chaine mais qu'il faut d'abord trouver le point mort. Pas très utile quand la chaine ne tient plus nul part...
Après ce moment de solitude, on pousse les meules dans un recoin et on s'abrite.
Il pleut comme vache qui pisse et on attend la gentille Ange pour le remorquage.
Juste le temps de faire quelques imitations, Mademoiselle arrive avec son (atti)rail.

Direction McDo, j'ai les crocs et il recommence à faire beau, je suis alors heureux .
Une fois le ventre plein, on décide de repartir au Pouzin par l'autoroute. Parfait ça me va, j'ai l'habitude maintenant !

Sur la route je leur mets une petite distance en me permettant quelques pointes illégales. Pour étirer un peu les jambes de la petite verte, vous voyez?
Je n'arriverai pas vraiment plus tôt que mes amis. La soirée sera courte, tout le monde est fatigué et puis petit pincement au coeur car je repars demain, déjà ...


"Au revoir les coupains !"

4ème jour : Lundi 30 Septembre matin

Il me semble que je suis parti vers 14h, juste le temps de profiter de la cuisine exceptionnelle de Jeff. On se regarde quelques vidéos, on échange ce qu'on a chacun sur les caméras et c'est déjà le moment de partir. Et pour moi le moment de souffrir.


J'ai beau être matinal mais ... j'ai mal.

Les kilomètres défilent à nouveau.
Le trajet du retour n'avait pas la même saveur d'aventure, je n'avais juste pas envie.
Par contre les douleurs, elles, étaient bien là.

Je me mets alors à chanter "Douce France" dans mon casque, pour atténuer le bruit du silencieux. Arrivé au péage à Paris, je me rends compte que je n'ai plus le ticket.
De toute façon je viens de Lyon, et avec Genève ça ne fait pas une grande différence de prix.

Et là, je sortirais la phrase qui a résumé l'ensemble de mon week-end
"Oh bah, tu sais, foutu pour foutu hein ..."

Merci d'avoir lu jusqu'ici ;)

Merci à Rafale pour son accueil de prince et ses bonnes manières devant Ange.

Merci à Ange pour son art du rangement "prop'nikel'chrome' ", sa gentillesse et surtout ... de supporter Rafale.

Ah, et merci aussi, à Fanny, alias "verre de champ' à l'oeil" !

A vous les studios !

Max_ou

Terrible ! Vous vous êtes bien éclatés bande de ptits saligots, et ce, même sous la flotte !  ;)

Chapeau Poussin d'avoir fait autant de bornes, tout ça pour la pluie et voir cette vieille branche de Rafale, t'as du être déçu sur le coup !  <D <D

Frakass


clic

Il a du kiffer le poussin :) bravo d'avoir fait autant de borne en si peu de temps :pouce: malgré la pluie

shark49

pfffff jte boudes poussin tu descends faire chier le normand et même pas tu m'le dis
snif
Mon Ex ZR-7
Ma CBF 1000

Les cons du jour sont de sortie et à voir le nombre qu'il y en à aujourd'hui, je crois même que les cons de demain le son aussi...

clic

[foulamerde]
Moi il me l'avait dit, et même proposé de l'accompagner :-D
[/foulamerde]

nErur

Il a surtout bien éclaté sa moto !



MOUHAHAHAHAHA

Max_ou

Citation de: shark49 le 02 Octobre 2013 à 23:29:32
pfffff jte boudes poussin tu descends faire chier le normand et même pas tu m'le dis
snif

Sharky le mal aimé !  <D

KFS-1

t'as pas des photos de la orange sur le plateau rose et noir, niveauu coloris, ca devais defier beneton
Avant j'étais bon en math... mais ca, c'était avant...  :-D :-D :-D
ZX-6RR 04

Mamykawa

Pétard !!! Les Cévennes en ZX-6R sous des trombes d'eau  :'( :'( :'( :'(

Génial la vidéo !!

XIII

Ah foutue pluie !
Bien belle cette vidéo, j'ai bien aimé, par moments ça m'a rappelé l'Alsace :'(

Poussin, t'as vraiment un casque qui suit pas avec ta meule ! :-D
Jeff, j'suis fan de ton porte clé !

Merci pour la vidéo j'attends le récit de Poussin maintenant.

timstripes

Jolie vidéo amusante !

Je n'ai pas remarqué le casque mais plus la veste touring inadequate !

Ou peut être est ce la moto qui l est,  inadequate !

rafale

Merci à tous, sauf neuNeure.

Citation de: timstripes le 04 Octobre 2013 à 09:54:28
Ou peut être est ce la moto qui l est,  inadequate !

Ouais ! Même lui le dit.  :biggrin:

poussin

#14
Je vous dedans  :)

Happy_Wizard

La dernière minute de vidéo vaut tous les CRs possibles... <D <D <D
Ma Street Triple façon Happy WI

Mes ex: Z750S / ZR-7S

Hebus

 :excellent:

la lozere en cette saison, sans combi de pluie, vous etes trèèèèèès optimistes  <D, mais vous avez du vous eclater  :-*

et  :bravo: a poussin pour toutes ces bornes en un week end  :pouce:
« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. »

— Benjamin Franklin

rafale


poussin


clic

Top ton CR poussin ;-) :bravo:

Heureusement quand même que je ne t'ai pas suivit, j'me serai sorti en tentant de vous suivre et j't'aurai tué à faire des pauses toutes les heures avec ta sportive :-D :sifflet:


Sujets Similaires (5)